Nos yeux ne se renvoient plus la lumière.
Les vagues se vident de leurs couleurs.
Mon cœur pleure.
Le corps ému sa voix dans la gorge
Le silence à ne plus se reconnaître.
La solitude comme refuge de l’oubli.
Suivre l’eau et son écoulement.
Laisser les vagues fondre à mes pieds.
C’est elle que j’aimais.
C’est terminé, et maintenant…
maintenant tout peut commencer.
« Heureux les cœurs qui peuvent plier. Ils ne seront jamais brisés. » Albert Camus